Entre terre et vagues – Les chroniques d’atelier
J’écris quand la matière laisse un espace. Pas pour raconter. Pour prolonger.
Bijou ou objet à vivre, porcelaine ou grès, toujours le même geste, la même écoute.

Quand tout se pose…
Depuis quelque temps, quelque chose a changé dans mon travail. Une envie de dépouillement, de justesse. Moins de couleurs, plus de matière. Moins de formes, plus de sens. Une mue silencieuse mais profonde…

Quand je me déleste…
Petit à petit, j’ai senti que quelque chose ne vibrait plus. Le métal, les outils, les gestes appris. Alors j’ai lâché. Pour revenir à l’essentiel. Pour créer autrement. Pour retrouver du vrai.